" Urbiance "
Quelques images du vernissage :
Îlots personnels des photographes :
Emile
Vannarien
Le carnaval de Dunkerke connaît aujourd'hui une ampleur remarquable, et inscrit plus profondément que jamais une spécificité locale grâce à l'obtention d'une tradition
et d'une histoire. Le carnaval est à la fois une institution, un phénomène sociétal et, pour nombre de dunkerquois, un devoir citoyen que certains ont choisi d'inclure dans l'une des clause de
mariage. C'est dire le poids de la tradition. Un tambour-major, des fifres, des tambours, quelques cuivres, des hommes déguisés en femmes et vice-versa, des nuées de masques, une forêt de
parapluies et de la bierre, forcément consommée avec modération, tels sont les ingrédients de la "visserbende", cette bande de pêcheurs qui déferle chaque année dans les artères de la
ville-centre et des communes de l'agglomération. Emportés par la liesse que suscite cette fête brueghelienne, on en oublierait presque que le carnaval a une histoire qui se confond avec celle de
notre territoire.
Frédérique
Dalverny
Ah ! L'empreinte des doigts de Pluton sur la cuisse de Proserpine ! Un choc émotionnel ! Quand j'ai photographié les mains de Julia au travai, c'est l'image qui s'est
imposée à moi. Pression pressante et longue qui laisse une marque... Pourtant ici le sens est tout autre.Quand le Bémin cherche à évoquer la violence de l'emprise etl'impossibilité d'y échaper,
ces mains là, puissantes ou douces, ne nous apportent que bien-être et libération. Elles chassent, évacuent les tensions qui nous poluent et nous agressent au quotidien. mon travail de
photographe a été de chercher à rendre compte de ces empreintes, de leur intensité variable, de mettre en valeur les nuances dans la texture de la peau, des articulations, des veines par un
éclairage latéral en lumière naturelle qui modèle les formes, crée des zones d'ombres, accentue en douceur les contrastes, par le choix d'un traitement noir et blanc fortet avec un grain marqué,
par un tirage sur papier texturé FineArt type papier à dessin Canson.
Michel
Bochet-Mérand
Jo
Mertens
Sylvaine
Vannier
Bernard
Turcat
Que l'hiver paraît doux, et les nuées sauvages, Quand, au chaud, on contemple sur ces simples images La source de la Vie, l'origine du monde : L'eau, qui va, qui vient,
et sur qui tout se fonde...
Philippe
Bonnet
Pauline
Fournier
Gilles
Valli
Jérémy
Rasse
Articles de Presse :
